Discours d’Hervé Morin, Bouleville, le 27 juin 2015

Cliquez sur le logo et retrouvez le discours d’Hervé Morin lors du lancement de la campagne des Elections Régionales :

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Discours de Philippe Augier au lancement de la campagne des élections régionales

Chers Amis,

Je suis heureux d’être ici avec vous tous pour lancer une campagne régionale avec comme objectif final de pouvoir travailler au développement et à l’épanouissement d’une Normandie enfin réunifiée.

Pour moi, c’est 20 ans de militantisme récompensé pour que la Normandie retrouve toute sa force et soit à nouveau conquérante !

Conquérante en valorisant ses atouts, nombreux et remarquables, et en exploitant ses forces :

Sa situation géographique d’abord :

  •  Au centre d’un bassin de population européen de 30 M d’habitants à moins de 2 heures,
  • 600 km de façade maritime, ouverture sur le monde,
  • Une organisation autour de l’axe Seine, axe majeur de l’économie Française complété par des pôles urbains forts et une multitude de villes moyennes.

Ses activités développées dans l’excellence :

  •  Agriculture et agro-alimentaire, plus de 100 000 emplois,
  • Ses industries traditionnelles et de pointe,
  • Sa recherche, au top mondial dans bien des domaines,
  • Son tourisme, à l’offre tellement diversifiée,
  • Son nucléaire, développé tant pour produire l’énergie que pour la santé,
  • Sa filière équine, une des meilleures au monde,
  • Son activité portuaire,
  • Ses entreprises pépites.

Toutes ces forces et ce potentiel d’attractivité, insuffisamment exploités depuis de trop nombreuses années.

En 2014, la Normandie a accueilli le Monde (c’était le slogan) grâce au 70e anniversaire du Débarquement et les Jeux Equestres Mondiaux.

Dans les années qui viennent, avec toutes nos forces à nouveau déployées, c’est nous qui pouvons aller vers le monde, retrouvant notre fierté de la Normandie.

Cette conquête est possible, nous l’avons développée sur mon territoire avec 2 filières : le tourisme et la filière équine ; et je peux vous dire que ça marche !

J’ajouterai que nous avons également l’impérative nécessité de penser notre futur à l’aune de l’innovation, et donc de l’anticipation car nous vivons une révolution technologique qui est en train de faire naître une véritable révolution sociétale. Les usages numériques vont modifier tous les comportements : les rapports à l’autre, les modes de gouvernance, les modes de vie tout simplement.

Ceux qui sauront anticiper seront les nouveaux conquérants.

Et nous devons être de ceux-là, en s’appuyant notamment sur notre jeunesse, qui ne demande qu’une chose : travailler sur son territoire, le valoriser et en être fière.

Enfin, je dirai que ceux qui relanceront la Normandie conquérante seront les facilitateurs de projets.

C’est le rôle du politique d’accompagner les créateurs de tous les domaines, et les entrepreneurs qui font la richesse d’un territoire.

Nous devons composer notre équipe, pour rendre à la Normandie son esprit de conquête, avec des responsables ayant fait leurs preuves, ayant montré leur capacité à donner de l’énergie à leur territoire et qui appliqueront les mêmes recettes au service de la Normandie.

Et pour réussir, les élus qui énergiseront la Normandie de demain, devront travailler en très étroite collaboration avec toutes les forces vives de la Normandie, celles qui demandent tout simplement que nous libérions les énergies.

Ces forces vives, Chers Amis, pour beaucoup d’entre vous, vous les représentez ce matin, à l’image de cette entreprise dynamique qui nous accueille aujourd’hui, symbolisant ainsi notre volonté (ndlr : Entreprise Riou Glass à Boulleville).

Notre rôle, tous ensemble, est maintenant de faire partager cette ambition qui nous anime de relancer cette Normandie à laquelle nous sommes attachés en lui redonnant sa force de conquérante.

Intervention de Philippe Augier, Assemblée plénière du Conseil régional de Basse-Normandie – 18 juin 2015

Assemblée plénière du Conseil régional de Basse-Normandie – 18 et 19 juin 2015

Intervention de Philippe Augier, président du groupe UDI

Monsieur le Président,

Chers collègues,

Je voudrais à mon tour saluer l’arrivée de nos deux nouveaux collègues, Jacqueline Duboscq et Gérard Leneveu qui vont nous accompagner jusqu’au terme de ce mandat. Ils arrivent à un moment crucial de la vie de cette assemblée, à ce moment où la Normandie retrouve ses frontières, la Normandie à nouveau une, mais pas encore indivisible, malheureusement, j’y reviendrai.

Alors, j’entends dire, depuis des semaines, que la gauche serait le principal acteur de la réunification. Il y aurait les « faiseux » et les « diseux », pour reprendre les termes de patois normand utilisés par votre homologue haut-normand. Il l’a certainement appris pour pouvoir discuter avec Laurent Fabius ou Alain Le Vern.

Vous le savez, je me bats depuis assez longtemps sur ce sujet, je suis un militant ancien de la réunification et au fond, il m’importe peu que ce soit la gauche ou la droite qui ait initié cette réforme. A gauche comme à droite, d’ailleurs, nombreux étaient ceux qui la combattaient. Dans vingt ans, tout cela n’aura plus aucune importance.

Et aujourd’hui, je vois tellement d’avantages à cette réunification pour valoriser les nombreux atouts de la grande Normandie, tellement de force dans les synergies qui naîtront de cette fusion, tellement d’espoir pour notre territoire, qu’alors, oui, j’approuve profondément l’idée de la réunification. Comme tous mes collègues du Centre, je ne suis pas un rallié de la dernière heure, qui, après avoir toujours dit que la fusion ne l’intéressait pas, se mettrait à la faire et à en devenir un ardent partisan. Vous savez, Monsieur le Président, que je ne parle pas de vous, mais de nombreux de vos alliés et pas des moindres.

Ainsi, en tant que militant, comme je le disais, de cette grande Normandie, je défends, avec tous ceux qui me sont proches, un équilibre des territoires qui ne soit pas un vœu pieu, une coquille vide, une belle formule électorale permettant d’enfumer un peu plus les normands.

Pour moi, l’équilibre des territoires, c’est accepter que le pouvoir ne soit pas centralisé en un seul lieu, comme c’est le cas à l’échelle de la France, c’est soutenir le dynamisme des trois villes phares de Normandie, Caen, Rouen et Le Havre, plutôt que de prôner la loi du plus fort, alors qu’il n’y a pas de plus fort, c’est aussi s’assurer de la construction concrète d’un réseau des villes moyennes, qui puisse être moteur pour toutes les zones rurales de la Région.

Ce réseau, ce sont des infrastructures et des modes de transports, ce sont des filières économiques, ce sont des connexions numériques, c’est l’organisation des complémentarités entre les bassins de vie. Nous devons travailler avec cet objectif d’équilibre, en s’appuyant sur les structures déjà en place, ou en cours de construction : la métropole rouennaise, le pôle de l’estuaire, le pôle métropolitain caennais, les villes moyennes dont je parlais à l’instant, mais aussi les départements et, demain, notre conseil régional, en grand orchestrateur de ce beau projet.

Cet équilibre que nous défendons passe notamment par une question toute simple à laquelle nous n’arrivons pas à avoir de réponse claire. Nous vous demanderons d’y répondre tout à l’heure, mais permettez-moi de la poser maintenant, afin que vous puissiez commencer à y réfléchir, puisque rien n’est clair jusqu’à maintenant : êtes-vous pour ou contre le fait que le siège du Conseil régional, les services qui lui sont directement rattachés et le lieu de réunion des assemblées, soient regroupés en un seul et même lieu ? Ne me répondez pas en prenant pour exemple les agents des lycées, dont tout un chacun sait qu’ils ne sont pas délocalisables. Et, puisque vous avez expliqué aux médias que c’était très compliqué, je vous prie de nous expliquer en quoi. Nous sommes tout ouïe. A moins que vous ne préfériez attendre l’autorisation de votre homologue, tout à l’heure, pour nous donner une réponse.

Notre position est claire. Je me désole de voir les combats et les divisions qui agitent certains sur ces questions, je suis encore plus navré de voir ceux qui, tout en étant aux responsabilités, jettent de l’huile sur le feu, plutôt que de chercher des solutions dans un travail commun. Il y a là, à mon sens, le résultat d’un choix qui a trop longtemps été celui des deux présidents de régions : celui de l’attentisme.

Si vous étiez persuadés que la réunification était un projet essentiel, qui pouvait être consensuel, alors pourquoi vous ne l’avez pas initié avant ? Et sans même aller jusque-là, pourquoi ne pas avoir davantage travaillé ensemble, depuis plus de 10 ans que les deux Régions sont censées être dans le même camp politique ? Vous avez laissé s’installer un climat de rivalité en Normandie. Qu’avez-vous fait pour donner envie aux Normands, depuis des mois et des mois, de travailler ensemble ? Au conseil régional de Haute-Normandie, en étant arrogant, ici en capitulant ? La Normandie est une, enfin, et vous commencez par la division.

On ne peut pas réunifier en jouant les uns contre les autres. C’est pourtant l’attitude des présidents de Régions. Encore aujourd’hui, vous soutenez une organisation de la gouvernance qui va à l’encontre de l’équilibre, en soutenant que le siège du Conseil régional et la préfecture de Région doivent être à Rouen, comme l’a voté le CESER haut-normand – je ne dirai pas comme un seul homme, parce que leur marge était bien faible.

C’est aussi l’attitude du préfet préfigurateur. Celui-ci doit avoir des dons de divination, à moins qu’il ait eu une feuille de route pré-rédigée, car quelques jours à peine après avoir été nommé, sans concertation avec quiconque – en Basse-Normandie en tout cas, sauf peut-être vous, Monsieur le Président ? – sans même avoir passé le Pont de Normandie, il annonçait déjà son plan : une capitale régionale à Rouen, avec le sous-entendu, confirmé depuis, qu’il s’agissait d’y concentrer tous les pouvoirs. C’est le discours tenu par le préfet de Basse-Normandie a qui veut l’entendre, c’est le discours des administrations d’Etat, c’est le discours que vous avez tenu, vous aussi, à travers certains écrits.

Pour ne pas être trop négatif – je ne voudrais pas que vous me fassiez ce reproche, car c’est toujours votre défense, j’ai trouvé un point positif, un compliment, même. A 6 mois des élections régionales, je me réjouis de voir que vous avez enfin pris la mesure du travail à engager et du temps à rattraper pour réussir la réunification ! Il suffit de voir le nombre de réunions que vous menez sur le territoire, toujours accompagné de votre fidèle comparse haut-normand, pour s’en assurer. Il est vrai que, tout le monde ici vous le confirmera, les campagnes électorales, ça rapproche… Oserai-je dire que vous ne travaillez ensemble que depuis que vous avez décidé de partir en campagne électorale ?

Une petite parenthèse, Monsieur le Président : j’ai été un peu surpris de ne pas trouver, dans les rapports que nous allons étudier aujourd’hui, la mention de vos réunions électorales. Comme votre campagne commune semble se faire en partie aux frais du contribuable, je pensais que nous aurions voté une autorisation de paiement…

Ces six derniers mois sont d’ailleurs étonnamment plein de promesses. Des projets qui paraissent tellement urgents qu’il faut les traiter tout de suite, avant décembre, bien entendu. Il ne s’agit pourtant pas de répondre à une avarie soudaine mais à des questions anciennes, récurrentes pour de nombreux normands. Quelques exemples :

– les billets de train à 50 % pour les étudiants sur le Caen/Rouen, annoncé dans la presse ;

– le prolongement du Paris-Granville par autocar pour le Mont-Saint-Michel – il était temps…

– le lancement d’une grande idée sur la prise en charge du péage du Pont de Normandie par les départements et la région – c’est vrai que le Pont n’a que vingt ans ;

– la hausse des subventions aux syndicats ;

– la revalorisation du régime indemnitaire des agents du conseil régional, devant avoir des effets dès septembre. Dès septembre ! Cela n’aurait-il pas été plus cohérent d’attendre au moins janvier 2016 ? Ou bien le faire plus tôt, comme les agents pouvaient l’attendre ?

Alors, Monsieur le Président, je vous suggère de vous faire un pense-bête, afin de ne pas oublier de déclarer sur vos comptes de campagne le prix d’achat de la paix sociale. On sait que la commission est intraitable…

En tout cas, bien que vous lanciez de grands projets en pleine campagne électorale, les questions essentielles, celles qui concernent la préparation réelle du fonctionnement des services et de l’assemblée, ne sont pas traitées.

Je crois vous avoir déjà posé la question des travaux nécessaires dans l’hémicycle, que ce soit celui-ci ou celui de Rouen. Allons-nous faire d’importants travaux en double, avant de s’avoir où l’on se fixe ? Que vont faire, dans quelques mois,  les agents, qui se sentent, pour une part, abandonnés ? Partiront-ils à Rouen ? Resteront-ils à Caen ? Devront-ils changer de poste ? Encore une fois, puisque c’est le seul exemple que vous avez, je ne parle pas des agents des lycées. Mais les agents du service des marchés publics ? Ceux des ressources humaines ? Allons-nous avoir des doublons ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont besoin de se préparer ? Les parents qui devront trouver une autre école pour leurs enfants ? Les conjoints qui devront faire des choix professionnels ? La perspective, peut-être, d’un déménagement ? Je pense aux agents de Basse-Normandie comme à ceux de Haute-Normandie. Les inquiétudes n’ont pas de frontières…

J’ai donc posé la question en commission, la 4, qui a, entre autres, pour thème de travail la réunification, du devenir de nos agents, de la réorganisation des services. Savez-vous ce qu’un élu de votre majorité a conclu, quand mes questions devenaient gênantes ? « Joker »… avant que l’on ne m’explique que la mobilité fait partie du job pour ceux qui ont des responsabilités. Je suggère que l’on réponde cela à leurs enfants et à leurs conjoints. Et je ne parle pas des commentaires en privé de certains élus de la majorité. Un scrutin secret serait intéressant…

Je pense donc que les agents, mais aussi tous les acteurs de la vie bas-normande, seront grandement intéressés par vos prises de position sur le lieu d’établissement du Conseil régional, que viendra nous exposer le président haut-normand cet après-midi, comme j’ai pu l’apprendre en consultant son agenda sur internet. Je suis un peu surpris que ce soit son agenda qui dicte l’ordre de nos délibérations, mais je conçois qu’il soit très occupé en pleine campagne.

En tout état de cause, puisque vous serez là tous les deux, je compte sur vous pour nous donner une réponse claire. Pas de formule, pas d’enfumage : est-il équilibré que la préfecture et le siège de la Région soit dans une seule et même ville, oui ou non ? Vous nous dites avoir entendu le message. Répondez-y.

Je vous remercie.

Seul le prononcé fait foi.

Elections régionales : Philippe AUGIER soutient Rodolphe THOMAS comme tête de liste départementale

Communiqué de Philippe AUGIER,
président du groupe UDI au Conseil régional

Philippe AUGIER soutient Rodolphe THOMAS comme tête de liste départementale

Après le succès connu par le centre et la droite aux élections départementales de mars (trois départements présidés par des UDI et deux par des Républicains), nous souhaitons tous que cette même dynamique nous permette en décembre prochain de faire approuver un projet ambitieux pour
la grande Région Normandie.

Plusieurs paramètres seront essentiels pour faire gagner le centre et la droite et, à travers ce projet, toute notre Région.

La première de ces conditions est l’union. Alors qu’aujourd’hui, les socialistes sont déjà en campagne – dans des conditions déontologiques discutables – nous ne pouvons plus attendre pour que notre rassemblement, naturel, soit effectif. Pour construire dans les meilleurs délais la liste départementale dans le Calvados, nous devons nous regrouper derrière celui qui mènera cette liste et qui saura être notre porte-parole.

Les partis et leurs négociations internes ne sont pas notre critère premier. Nous lui privilégions un paramètre primordial : la personnalité des élus que nous voulons soutenir. Pour être crédibles aux yeux des électeurs, pour mériter leur confiance, nous devons leur proposer des candidats aux compétences reconnues par tous, qui ont fait leurs preuves et qui ont ainsi bâti une notoriété méritée et positive sur le territoire.

Le dynamisme que nous voulons donner à notre Région doit s’incarner dans nos candidats. Une nouvelle génération d’élus doit ainsi être appelée à prendre davantage de responsabilités.

Dans une perspective d’union, les partis, leur poids politique national, ne peuvent être l’unique condition pour désigner la tête de liste.

Il y a quelques jours, mon parti m’a accordé sa confiance pour me désigner chef de file de l’UDI pour ces élections régionales dans le Calvados. Je suis honoré qu’il reconnaisse, par cette décision, mon engagement de longue date au Conseil régional de Basse-Normandie, en particulier au moment où la
réunification de la Normandie, que je soutiens ardemment depuis toujours, va se concrétiser. Néanmoins, prenant en considération les différents paramètres que je viens d’évoquer, je pense que le meilleur d’entre nous pour mener la liste d’union UDI-Républicains-Modem dans notre département est sans conteste Rodolphe THOMAS.

Reconnu pour sa bonne gestion de la deuxième ville du Calvados, le maire d’Hérouville-Saint-Clair possède les compétences nécessaires pour faire avancer le territoire. Je ne doute pas qu’il mettra la même énergie au service du développement de sa Région que pour celui de sa ville.

Sa popularité, prouvée par ses nombreuses réélections, tant comme maire que comme conseiller départemental, est évidente, bien au-delà de sa commune. Les habitants de Caen, capitale régionale, le connaissent et l’apprécient. Ils savent, comme bien d’autres dans le département, qu’il saura défendre la place de l’agglomération au niveau régional, tout comme il saura être attentif à l’équilibre entre les principaux pôles de vie de Normandie.

Seule la constitution rapide de la liste départementale permettra de débuter la campagne des élections régionales, conduite par Hervé MORIN, dans un climat serein et combatif. Pour une Normandie enfin conquérante, dans le Calvados je soutiens donc la candidature de Rodolphe THOMAS à la tête de la liste UDI-Républicains-Modem.

Elections régionales : Philippe Augier désigné chef de file UDI pour le Calvados

COMMUNIQUE DE PRESSE

La Commission Nationale des Investitures de l’UDI vient de désigner Philippe AUGIER comme chef de file des élections régionales pour le département du Calvados. Au nom de la fédération du Calvados de l’UDI, je me réjouis de ce choix

La Réunification de la Normandie est une formidable chance mais aussi un redoutable défi. Le 1er janvier 2016, à l’issue des élections régionales, la Normandie retrouvera ses fondations originelles. La page blanche que les nouveaux élus auront à écrire ne doit en aucun cas être l’addition des politiques régionales haut-normandes et bas-normandes. Il faut au contraire des politiques nouvelles, ambitieuses faisant fi des conservatismes facteurs d’immobilisme.

Pour contribuer au succès de ce formidable défi, nous faisons toute confiance à Philippe AUGIER, président du groupe centriste au Conseil régional de Basse-Normandie, car il a une grande connaissance des dossiers régionaux, notamment ceux qui touchent à l’économie et au tourisme. Son expérience dans ces domaines seront des atouts très précieux pour la Normandie et le futur exécutif régional.

Forte de ses résultats aux dernières élections municipales, sénatoriales et départementales dans le Calvados, l’UDI est bien ancrée dans le Calvados, terre modérée par excellence . Elle entend participer pleinement à l’union avec les Républicains et le Modem pour assurer le changement nécessaire en Normandie lors des élections de décembre prochain. L’union de la droite et du centre est le plus sûr moyen d’y parvenir.

Jean-Léonce DUPONT

Président de l’UDI du Calvados